Pour soigner nos amies les bêtes
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Pour soigner nos amies les bêtes
Le vétérinaire de ville , le vétérinaire de campagne .
Ils firent tous les deux de hautes études .
Le gars de la ville aimait bien la campagne
L’autre, campagnard, n’ayant qu’incertitudes ,
Préférait mener une vie de cocagne .
Devenus vétérinaires ils s’installèrent
Ensemble, mais très vite, la brutalité
D’un appel très tenace les séparèrent ;
Le citadin s’en alla en ruralité .
Ainsi, les deux vétérinaires devinrent ,
Pour l’un, le médecin des toutous à maman ,
Pour l’autre, dans sa rusticité, parvinrent
Tous les animaux vivants sous le firmament .
A la ville, comme pour les fonctionnaires,
Les consultations sont souvent délimitées
Par le souci de respecter les horaires
Pour se préserver des plages d’intimité .
Les praticiens ruraux sont plus souvent soumis
Aux aléas de nature imprévisible,
Car vache qui vêle, pouliche qui gémit
Nécessitent une attention très sensible .
Mais ne soyons pas chauvins, rendons à chacun
Ses mérites ; celui de la ville, parfois,
Soigne des animaux du rural que d’aucuns
Amènent, faute de médecins quelquefois .
Le vétérinaire de campagne assure
La protection de type systématique
De cheptels en tous genres, et par nature
Orientés dans un but économique .
Le citadin par contre semble plus enclin
A avoir pour lui le monopole du cœur
Car il soigne, au delà des chiens et des félins,
Leurs maîtres, qui souvent seuls, n’ont pas d’âme sœur .
La perte d’un animal est comparable
A celle d’un ami, tandis que pour certains
C’est le résultat d’un travail non rentable .
Pour les deux c’est parfois un signe du destin .
Les vétérinaires sont là pour éviter
Que le pire ne survienne comme rabat-joie
Et leur grande conscience est à féliciter,
Qu’ils soient des citadins ou bien des villageois .
( S. Tomasi
Ils firent tous les deux de hautes études .
Le gars de la ville aimait bien la campagne
L’autre, campagnard, n’ayant qu’incertitudes ,
Préférait mener une vie de cocagne .
Devenus vétérinaires ils s’installèrent
Ensemble, mais très vite, la brutalité
D’un appel très tenace les séparèrent ;
Le citadin s’en alla en ruralité .
Ainsi, les deux vétérinaires devinrent ,
Pour l’un, le médecin des toutous à maman ,
Pour l’autre, dans sa rusticité, parvinrent
Tous les animaux vivants sous le firmament .
A la ville, comme pour les fonctionnaires,
Les consultations sont souvent délimitées
Par le souci de respecter les horaires
Pour se préserver des plages d’intimité .
Les praticiens ruraux sont plus souvent soumis
Aux aléas de nature imprévisible,
Car vache qui vêle, pouliche qui gémit
Nécessitent une attention très sensible .
Mais ne soyons pas chauvins, rendons à chacun
Ses mérites ; celui de la ville, parfois,
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( S. Tomasi
tomasi- Messages : 5
Date d'inscription : 16/11/2010
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