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madame carole zalberg
Carole Zalberg est une écrivain qui rzaconte très bien et j'en suis à 3 romans lus en quelques jours pris sur price minister à 2 euros et je me fais vraiment plaisir ,je regrète de ne pas avoir pu la voir et lui faire signer . Je la trouve charmante sur les fotos et les filmes
jeanne-marcelle- Messages : 193
Date d'inscription : 30/06/2008
Re: MUSANOSTRA.FR
Oui Carole Zalberg est un auteur à lire, à la plage, à l'ombre chez soi...Et je voulais dire à Jean-Pascal que "pieve è paesi" est difficile à trouver en occasion ! Dieu que l'eau de la rivière est revigorante...
basgi à tutti !
basgi à tutti !
Vous lisez, vous aimez...
Nouveaux papiers reçus et deux déjà en ligne sur le site de l'association : www.musanostra.fr
-roman de Marie-Hélène Ferrari "La persévérance du jardinier"
- d'A Ferney "Grâce et dénuement"
-roman de Marie-Hélène Ferrari "La persévérance du jardinier"
- d'A Ferney "Grâce et dénuement"
Annonce par JPSantini de la parution de "l'ultimu" ; à découvrir !
L'ULTIMUde Jean-Pierre Santini
L'histoire est un roman qui a été.
Le roman est de l'histoire qui aurait pu être.
Edmond et Jules de Goncourt
L'histoire est un roman qui a été.
Le roman est de l'histoire qui aurait pu être.
Edmond et Jules de Goncourt
distractions !
Eri, in Corti, Vitalba è I Muvrini ! Una bella serata, sottu à u celu !
Hier, à Corte, les groupes Vitalba et les Muvrini nous ont fait passer une belle soirée en plein air
Hier, à Corte, les groupes Vitalba et les Muvrini nous ont fait passer une belle soirée en plein air
2 trucs, un constat, un avis
2 trucs en passant, le premier c'est que le blog du corse matin sur la littérature corse a fait long feu et qu'il et sans rebondissement depuis longtemps. La crise est là ,c'est idem pour d'autres blogs. 2, j'ai lu un billet sur le site sur le dernier roman de madame Ferrari et je suis assez d'accord même si je connaissais tout ça, Pierrucci et le style de l'auteur. mais je dois expliquer que je suis étonné que personne ne parle des dessins dans son livre. Son éditeur devrait lui dire qu'elle casse l'effet avec ces gribouillis sans rapport avec le texte. je les ai trouvé carréments laids et je voudrais avoir d'autres avis. Je ne suis pas artiste mais quand je vois ça,j'ai envie de poser le livre.
patrimoniu100- Messages : 101
Date d'inscription : 03/05/2010
constat et avis !
Dessins du dernier roman de M.H. Ferrari
N'exagérons rien ! C'est votre avis, d'autres les apprécient, ces dessins !
Pour le Forum du Corse-Matin concernant les livres, il semble en veilleuse depuis à présent quelques mois ; c'est effectivement regrettable !
N'exagérons rien ! C'est votre avis, d'autres les apprécient, ces dessins !
Pour le Forum du Corse-Matin concernant les livres, il semble en veilleuse depuis à présent quelques mois ; c'est effectivement regrettable !
En vacances, pourquoi ne pas s'évader... au travail avec un livre ?04.08.2012
04.08.2012
En vacances, pourquoi ne pas s'évader... au travail avec un livre ?
S'échapper au travail en pleines vacances ? Une idée de parfait masochiste a priori, sauf s'il s'agit de découvrir un univers professionnel inconnu sans quitter son transat... dans les pages d'un livre.
Le roman "social" est souvent attaché à une image de noirceur, voire de sinistrose, mais il peut être aussi plein de mordant et parfois d'humour.
C'est le cas du récent "Journal ambigu d'un cadre supérieur" d'Etienne Deslaumes. Ce portrait décapant du monde du travail et de ses mesquineries, réunit une flopée de personnages hauts en couleurs, comme Paul Rebou, dit Paul "Bourré", DRH alcoolique, l'assistante Kaka, amante d'un responsable ou encore le Basque, patron irascible.
Plus ancien mais toujours d'actualité, "Les tribulations d'une caissière" d'Anna Sam est tout aussi grinçant. Tiré d'un blog dans lequel l'auteur racontait son quotidien d'employée de caisse, l'ouvrage a été adapté au cinéma.
Elle y dépeint avec humour la tenue "mémé", "clown" ou "fermière" imposée, les 500 "merci" quotidiens, les clients ivres ou graveleux, ou encore les stratégies desdits clients pour dissimuler leurs achats gênants (papier toilette, préservatifs, DVD pornos...).
A la manière d'un Zola moderne, Gérard Mordillat multiplie de son côté les ouvrages sur le monde ouvrier, comme "Rouge dans la brume" ou l'imposant "Les vivants et les morts", une histoire d'amour sur fond de fermeture d'usine.
Avec "L'Enquête", Philippe Claudel offre pour sa part un texte dérangeant, où l'étau se resserre sur un héros chargé d'enquêter sur des suicides dans une entreprise, tandis que pour s'approcher au plus près de la réalité, Sylvain Rossignol s'est fondé pour "Notre usine est un roman" sur les témoignages de salariés d'une entreprise pharmaceutique ayant fermé un site.
Le travail s'illustre aussi en BD
Le polar s'invite aussi dans l'univers du travail, comme dans le recueil de nouvelles "Derniers retranchements" d'Hervé Le Corre où l'on croise une femme de ménage qui vole son employeur, ou un ouvrier qui tue son DRH en plein plan social. Autre recueil de nouvelles, "Petites natures mortes au travail" de Yves Pagès, offre également des tranches de vie, comme celle d'une employée de l'ANPE (aujourd'hui Pôle emploi) qui passe de l'autre côté de la barrière ou d'un salarié d'un parc d'attractions condamné à porter un costume de Pluto.
Depuis cette année, le roman social a même son propre prix, à l'initiative de l'Association pour la formation professionnelle des adultes (Afpa), remis récemment à "Un homme jetable" d'Aude Walker, sur les salariés du nucléaire.
Six autres livres avaient été sélectionnés, dont "Assommons les pauvres" de Shumona Sinha, dans lequel la narratrice est interprète auprès de demandeurs d'asile, "Les Amandes amères" de Laurence Cossé, histoire d'une amitié entre une femme de ménage analphabète et son employeur, ou encore "Zone de choc" de Pierre Conesa sur les méandres de l'administration.
L'univers du travail fait également des incursions dans la bande dessinée, où outre l'indétrônable Gaston Lagaffe, on peut lire Manu Larcenet avec son "Guide de la survie en entreprise" ou, dans un genre plus thématique, la série des "Fonctionnaires" de Bloz, "Les Femmes en blanc" de Cauvin et Bercovici sur le monde hospitalier ou "Animal lecteur" de Libon et Sergio Salma, qui permet de découvrir de façon jubilatoire les coulisses du métier de libraire.
Dans un registre plus sérieux, "Les Ignorants" d'Etienne Davodeau offre un regard croisé sur l'univers de la vigne et de la bande dessinée. Le même avait déjà signé "Les Mauvaises Gens", un portrait du monde ouvrier militant dans les années 1950.
© AFP
En vacances, pourquoi ne pas s'évader... au travail avec un livre ?
S'échapper au travail en pleines vacances ? Une idée de parfait masochiste a priori, sauf s'il s'agit de découvrir un univers professionnel inconnu sans quitter son transat... dans les pages d'un livre.
Le roman "social" est souvent attaché à une image de noirceur, voire de sinistrose, mais il peut être aussi plein de mordant et parfois d'humour.
C'est le cas du récent "Journal ambigu d'un cadre supérieur" d'Etienne Deslaumes. Ce portrait décapant du monde du travail et de ses mesquineries, réunit une flopée de personnages hauts en couleurs, comme Paul Rebou, dit Paul "Bourré", DRH alcoolique, l'assistante Kaka, amante d'un responsable ou encore le Basque, patron irascible.
Plus ancien mais toujours d'actualité, "Les tribulations d'une caissière" d'Anna Sam est tout aussi grinçant. Tiré d'un blog dans lequel l'auteur racontait son quotidien d'employée de caisse, l'ouvrage a été adapté au cinéma.
Elle y dépeint avec humour la tenue "mémé", "clown" ou "fermière" imposée, les 500 "merci" quotidiens, les clients ivres ou graveleux, ou encore les stratégies desdits clients pour dissimuler leurs achats gênants (papier toilette, préservatifs, DVD pornos...).
A la manière d'un Zola moderne, Gérard Mordillat multiplie de son côté les ouvrages sur le monde ouvrier, comme "Rouge dans la brume" ou l'imposant "Les vivants et les morts", une histoire d'amour sur fond de fermeture d'usine.
Avec "L'Enquête", Philippe Claudel offre pour sa part un texte dérangeant, où l'étau se resserre sur un héros chargé d'enquêter sur des suicides dans une entreprise, tandis que pour s'approcher au plus près de la réalité, Sylvain Rossignol s'est fondé pour "Notre usine est un roman" sur les témoignages de salariés d'une entreprise pharmaceutique ayant fermé un site.
Le travail s'illustre aussi en BD
Le polar s'invite aussi dans l'univers du travail, comme dans le recueil de nouvelles "Derniers retranchements" d'Hervé Le Corre où l'on croise une femme de ménage qui vole son employeur, ou un ouvrier qui tue son DRH en plein plan social. Autre recueil de nouvelles, "Petites natures mortes au travail" de Yves Pagès, offre également des tranches de vie, comme celle d'une employée de l'ANPE (aujourd'hui Pôle emploi) qui passe de l'autre côté de la barrière ou d'un salarié d'un parc d'attractions condamné à porter un costume de Pluto.
Depuis cette année, le roman social a même son propre prix, à l'initiative de l'Association pour la formation professionnelle des adultes (Afpa), remis récemment à "Un homme jetable" d'Aude Walker, sur les salariés du nucléaire.
Six autres livres avaient été sélectionnés, dont "Assommons les pauvres" de Shumona Sinha, dans lequel la narratrice est interprète auprès de demandeurs d'asile, "Les Amandes amères" de Laurence Cossé, histoire d'une amitié entre une femme de ménage analphabète et son employeur, ou encore "Zone de choc" de Pierre Conesa sur les méandres de l'administration.
L'univers du travail fait également des incursions dans la bande dessinée, où outre l'indétrônable Gaston Lagaffe, on peut lire Manu Larcenet avec son "Guide de la survie en entreprise" ou, dans un genre plus thématique, la série des "Fonctionnaires" de Bloz, "Les Femmes en blanc" de Cauvin et Bercovici sur le monde hospitalier ou "Animal lecteur" de Libon et Sergio Salma, qui permet de découvrir de façon jubilatoire les coulisses du métier de libraire.
Dans un registre plus sérieux, "Les Ignorants" d'Etienne Davodeau offre un regard croisé sur l'univers de la vigne et de la bande dessinée. Le même avait déjà signé "Les Mauvaises Gens", un portrait du monde ouvrier militant dans les années 1950.
© AFP
Re: MUSANOSTRA.FR
bonsoir penserosu
je vous met là un billet trouvé sur le site de Bastia pauvre ville!!!
J'aurai honte moi a imiter musanostra,de voller les idées, les mots,les annonces mais le problème c'est quand on fait tout ça pour rien et qu'on se plante parce que même sils prennent vos mots et vos idées ils n'arrivent avec tous leurs millions qu'à se couvrir de ridicule
sil ni avait pas le prix du livre corse ou ils donnent des livres et font du battage ce serait le désert chez eux!!!et c'est la cata !! changez vos équipes monsieur le maire!!!
lisezmoi ça
Café littéraire
Le lundi 7 mai 2012, à la Bibliothèque Le Petit Prince.
Dans un lieu convivial, des lecteurs, animés par la curiosité et l'amour des livres, se retrouvent pour discuter de leurs impressions de lecture, parler des livres qu'ils ont aimés ou détestés, (re)découvrir des auteurs ou des œuvres de littératures française et étrangère.
Ces réunions sont, avant tout, des moments de plaisir et de détente.
Un seul fil rouge : le goût de la lecture, un seul mot d'ordre : la convivialité.
Le lundi 7 mai 2012, de 18h15 à 20h30, le café littéraire aura pour thème "Le prix des lecteurs de Corse".
Ouvert à tous.
et bla bla bla et bla bla bla
je vous met là un billet trouvé sur le site de Bastia pauvre ville!!!
J'aurai honte moi a imiter musanostra,de voller les idées, les mots,les annonces mais le problème c'est quand on fait tout ça pour rien et qu'on se plante parce que même sils prennent vos mots et vos idées ils n'arrivent avec tous leurs millions qu'à se couvrir de ridicule
sil ni avait pas le prix du livre corse ou ils donnent des livres et font du battage ce serait le désert chez eux!!!et c'est la cata !! changez vos équipes monsieur le maire!!!
lisezmoi ça
Café littéraire
Le lundi 7 mai 2012, à la Bibliothèque Le Petit Prince.
Dans un lieu convivial, des lecteurs, animés par la curiosité et l'amour des livres, se retrouvent pour discuter de leurs impressions de lecture, parler des livres qu'ils ont aimés ou détestés, (re)découvrir des auteurs ou des œuvres de littératures française et étrangère.
Ces réunions sont, avant tout, des moments de plaisir et de détente.
Un seul fil rouge : le goût de la lecture, un seul mot d'ordre : la convivialité.
Le lundi 7 mai 2012, de 18h15 à 20h30, le café littéraire aura pour thème "Le prix des lecteurs de Corse".
Ouvert à tous.
et bla bla bla et bla bla bla
muvrinu- Messages : 151
Date d'inscription : 14/11/2009
Re: MUSANOSTRA.FR
attention : quand on voit les pages les plus regardées sur la page d'acueil les liens ne sont pas bons
pur M Renucci : c'est bien de montrer ce qui se passe avec le travail de l'association quand on sait les moyens des bibliothèques (financier et autre ) et leur faible réussitte
ils n'ont vraiment aucune idée nouvelle???
pur M Renucci : c'est bien de montrer ce qui se passe avec le travail de l'association quand on sait les moyens des bibliothèques (financier et autre ) et leur faible réussitte
ils n'ont vraiment aucune idée nouvelle???
corseetzen- Messages : 136
Date d'inscription : 04/09/2008
Re: MUSANOSTRA.FR
Vraiment inintéressant au possible ; merci chers amis de vous soucier de nous, de notre impact et croyez bien que nous en sommes flattés. Cependant pas la peine d'y consacrer tant de texte ni de focaliser sur un endroit ou l'autre : la géographie et la politique sont comme tout, on en fait ce que l'on veut.
Oui nous évoquons les actualités lorsque nous sommes informés cordialement d'un événement (si nous le pouvons) mais la réciproque n'est pas systématique. Il n'empêche, nous continuons généralement !
je lis mon premier Camilla Lackberg dont on nous a tant parlé aux cafés littéraires (en particulier Michèle ) et comme il est enfin paru en poche, je m'empresse de découvrir cette auteure. Je vous en parlerai.
Oui nous évoquons les actualités lorsque nous sommes informés cordialement d'un événement (si nous le pouvons) mais la réciproque n'est pas systématique. Il n'empêche, nous continuons généralement !
je lis mon premier Camilla Lackberg dont on nous a tant parlé aux cafés littéraires (en particulier Michèle ) et comme il est enfin paru en poche, je m'empresse de découvrir cette auteure. Je vous en parlerai.
Editions Actes Sud, le nouveau Jérôme Ferrari !
Ce soir, malgré une journée très bien remplie, mise en ligne (probable) sur
musanostra.fr
d'un billet sur "Le sermon sur la chute de Rome" de J. Ferrari
musanostra.fr
d'un billet sur "Le sermon sur la chute de Rome" de J. Ferrari
Re: MUSANOSTRA.FR
deux mots juste avant ma sieste pour dire que j'ai apprécié la présentation du livre de l'enquetrice H Costanty par Santelli. On traite mal la corse et les corses et je suis bien content qu'on s'e rende compte
a luri les gens ont du passer un très bon moment
a luri les gens ont du passer un très bon moment
patrimoniu100- Messages : 101
Date d'inscription : 03/05/2010
Re: MUSANOSTRA.FR
Pierre-Laurent nous a fait là une belle présentation, avec coeur et nous l'avons tous appréciée !
Luri, oui, quel bel accueil ! L'amichi di U rughjone, a ghjuventù lurese ; ils se sont donné bien du mal pour qu'on célèbre à notre niveau a simana di a lingua corsa
Luri, oui, quel bel accueil ! L'amichi di U rughjone, a ghjuventù lurese ; ils se sont donné bien du mal pour qu'on célèbre à notre niveau a simana di a lingua corsa
Re: MUSANOSTRA.FR
Bon encore moi pour des points qui ne me regardent pas, vous allez dire. Les vidéos des muvrini ne sont plus là et ma question c'est pourquoi elles sont indisponibles.Je suis assez fan et j'écoutai volontiers
patrimoniu100- Messages : 101
Date d'inscription : 03/05/2010
Re: MUSANOSTRA.FR
Renseignements pris, il semble que I Muvrini ne souhaitent pas qu'il y ait de videos faites lors des concerts par des particuliers (même si le bu n'est pas lucratif
Allez les entendre en concert, c'est encore mieux
Allez les entendre en concert, c'est encore mieux
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Camilla Lackberg "La princesse des glaces" en poche traduit du suédois (Babel) ; pas mal, convient particulièrement pour la plage
JP Pellegrinetti et Ravis-Giordani "Du deuil à la mémoire" (Albiana) ; un document qui fait réfléchir, qui permet d'en savoir plus et de ne pas trop vite tout oublier. Inclus DVD
Peter May "L'île des chasseurs d'oiseaux" traduit de l'anglais(Babel noir) ; excellent, beaucoup de profondeur
JP Pellegrinetti et Ravis-Giordani "Du deuil à la mémoire" (Albiana) ; un document qui fait réfléchir, qui permet d'en savoir plus et de ne pas trop vite tout oublier. Inclus DVD
Peter May "L'île des chasseurs d'oiseaux" traduit de l'anglais(Babel noir) ; excellent, beaucoup de profondeur
Dernière édition par penserosu le Dim 12 Aoû - 10:43, édité 1 fois
Théodore De Neuhoff
moi j'ai suivi un peu ce que dit Mei et j'ai lu 2livres sur Théodore De Neuhoff : le livre de Jean-Claude Rogliano et celui de Antoine-Laurent Serpentini. Et j'ai passé un très bon moment de lecture avec ces livres qui traient de façon différente les mêmes zones de notre passé
muvrinu- Messages : 151
Date d'inscription : 14/11/2009
page d'accueil de musanostra.fr ...On attend votre réponse ; vite !
Le dernier "Qui suis-je ?" vous fait un peu souffrir, dirait-on. Pour une fois que vous vous cassez la tête plus de cinq secondes ! (moi on m'a donné le nom, c'est comme ça !! )
Voyez (en bas de la page d'accueil, à droite)
http://musanostra.fr/
et donnez votre avis ici, sur fb, ou sur
amusanostra@gmail.com
si vs ne trouvez pas, pas de panique, 2 nouv. indices tous les 2 jours
Voyez (en bas de la page d'accueil, à droite)
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amusanostra@gmail.com
si vs ne trouvez pas, pas de panique, 2 nouv. indices tous les 2 jours
Re: MUSANOSTRA.FR
Hier, 13 août, mais encore aujourd'hui, le 14, vous êtes attendus à Penta di Casinca pour des rencontres littéraires et festives consacrées à la littérature des îles. Magnifique village, c'est là l'occasion de le découvrir !
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