Re: MUSANOSTRA.FR

[patrimoniu100]

avant tout le monde, le qui suis je qui vient de paraitre hier :

le docteur schweitzer



right or wrong?

[penserosu]

Bonjour,

Nous avons le plaisir de vous convier à la première édition du festival Cap Lecture d'Erbalunga, organisé par la mairie de Brando, la bibliothèque municipale d'Erbalunga et la librairie Les Deux Mondes.
Ce festival se déroulera les 31 juillet et 1er août prochain à Erbalunga, sur la place Bach, à partir de 18 heures.
Au programme le 31 juillet, Jean-Marie Rouart, de l'Académie Française, prix Renaudot et Prix Interallié, romancier chez Gallimard et journaliste de renom, directeur du Figaro Littéraire, collaborateur à Paris-Match, et auteur en 1994 de "Omar, la construction d'un coupable", qui a inspiré le film "Omar m'a tué" de Rochdy Zem sorti en juin dernier.
Le 1er août sera consacré à la littérature insulaire, avec Jérôme Ferrari et Georges De Zerbi, deux écrivains corses à l'actualité chargée. Etienne Meloni, personnage atypique, homme de tous les défis, sera lui aussi présent pour évoquer son livre, prévu pour la fin de l'année, qui relatera ses exploits physiques et sportifs.
Chaque journée débutera à 18 heures par un débat animé par Pierre Negrel et Sébastien Bonifay de la librairie Les Deux Mondes, avant de se poursuivre par une séance de dédicace et une rencontre avec les auteurs.
Enfin, un concert lyrique le premier soir, des chants corses le second soir, mettrons un terme aux rencontres.
L'entrée est libre.

On vous attend nombreux, à dimanche prochain!


Librairie Les Deux Mondes
Lauréat de la fondation Lagardère 2010

[penserosu]

Chers amis,

Je dédicacerai mes deux derniers livres demain vendredi 29 juillet, à partir de 20h30, lors des Nocturnes, à Bastia. Je serai sur le trottoir devant la librairie Album (ex-SOBADI), boulevard Paoli. Si vous vous trouvez dans les parages, je serai très heureux de vous y rencontrer.

Amitiés,



Hervé Cheuzeville


tel : +33(0)6 25 07 41 33
e-mail: achecer@yahoo.fr
site: http://sthiramany.free.fr/kadogo/index.php?lng=fr
skype: herve.cheuzeville
flickr gallery:
http://www.flickr.com/photos/62982334@N06/

[penserosu]

Vous nous le demandiez et nous nous sommes décidés ! On parlera livre, lecture, films, expos...et nous attendons nos amis en vacances, tous ceux qui nous disent "il n'y a rien l'été !"
Ce sera léger, plaisant, convivial, comme d'habitude !

Rendez-vous donc,
Vendredi 19 août à partir de 17h30, Café littéraire Musanostra "Vos lectures de vacances" ;chez Annette Luciani, à la CasaGiafferri, un lieu calme, beau, un espace de rencontres culturelles(arts, littérature...). Cette rencontre musa nostra concerne les lecteurs du nord, du sud et du centre d'où le choix du lieu ... pas très loin de Corte !)


http://www.musanostra.fr/

.

[penserosu]

Qu'en est-il des incertitudes ? Faut-il admettre qu'elles ne le sont pas complètement ? Doit-on croire qu'on est jamais sûr de rien ?
A force de constater cette évidence au quotidien, j'en arrive à me faire une raison et à m'en convaincre comme 2 et 2 font 4. Sans émettre le moindre doute.
Soyez attentifs à toute discussion, quelle qu'elle soit, quoi qu'on dise, quoi qu'on fasse...Dans chacune d'entre-elles, l'incertitude rôde. Elle est présente. Omniprésente, dois-je dire.
A la question "En êtes-vous sûr ?", combien de fois, n'a-t-on pas entendu : "je pense pas me tromper". C'est évident, elle plane l'incertitude.
-"Comment allez-vous ?" - "Couçi-couça !. Ni bien, ni mal. Donc on ne sait pas trop.
-"En forme ?" -"Mezzo mezzo !". Là encore, on ne sait pas mieux.
Il va de soi que l'incertitude est, somme toute, relative. Souvent, elle ne tient qu'à un fil. J'en suis sûr à 99%. Il n'empêche que ce 1% laisse planer un léger doute. Parfois, elle se mesure à peu de chose. Si le récurrent "j'en suis presque certain" ne laisse pas trop de place à l'indécision, celle-ci subsiste néanmoins.
Quand le météorologue est convaincu que "le temps est incertain", qu'il y a-t-il de plus confus dans ses propos ? Il s'agit même de la façon la plus sûre de ne pas savoir le temps qu'il fera.
Quand le médecin veut ménager son patient par un "Rien de bien grave; des analyses complètes vont nous éclairer !", quoi de plus alarmant pour le malade ? Quoi de plus normal qu'un sentiment de précarité qui en résulte ?
Quand le prof donne comme avis : "Pourrait mieux faire !", comment croire que ce conditionnel peut devenir un gage de réussite ?
Quand l'élève affirme "Je pense avoir bien compris", il est pratiquement certain que la confusion la plus complète règne dans son esprit.
Quand le commerçant s'exclame : "gouttez moi ces fruits, vous m'en direz des nouvelles !", on est convaincu qu'il n'aura jamais de réponse.
Et il en est ainsi dans la majeure partie des cas.
Quand l'incertitude est grande, on a coutume de dire : " Un' ci la feremu mica !" (Il n'y arrivera pas !). Alors, tout est dit. Le monde est ainsi fait. Tout n'est qu'hésitation, indétermination, obscurité...Rien n'est jamais noir ou blanc.
Vous ai-je convaincu ? Je n'en suis pas sûr !

- "On mesure l'intelligence d'un individu à la quantité d'incertitudes qu'il est capable de supporter". (Kant)

[penserosu]

Par François Hauter

Les Corses n'acceptent pas l'inéluctable, la banalisation moderne. Les gens parlent bas, ils ont l'air sur la défensive. Mais quand ils vous accueillent, leur générosité est sans limite.
De la Corse, je ne sais rien. Jamais été là-bas. J'ai un a priori péjoratif: la> Corse est un drame de la centralisation. Tous les gens intelligents de l'île sont « montés» à Marseille, Paris, ou partis à l'étranger. Ceux qui n'en ont pas eu le courage ou les capacités intellectuelles de le faire sont restés sur place. Ils sont fonctionnaires ou font chanter les autres pour gagner leur vie> (1). Un souvenir aussi. Lorsque j'ai été engagé au Figaro en 1979, on m'a demandé d'écrire un premier article sur un chanteur qui se lançait dans les affaires. Il s'appelait Bernard Tapie. Il faisait sourire Paris. J'ai été ironique dans mon article, très court et pourtant, Tapie a attaqué le journal.> Premier article, et un procès: ça la fichait mal. Je monte au cinquième étage. C'est toujours dans des bureaux miteux que nichent les éminences grises. J'y trouve Xavier Marchetti, l'ancien attaché de presse de Georges Pompidou, un Corse délicieux, pétillant - il avait toujours un pistolet extraplat sous son ­smoking. Xavier me voit embarrassé par ce procès, il me dit: «Petit, ne t'inquiète pas, je vais régler ça! » Il décroche son téléphone, il appelle un sénateur, un certain Charles Pasqua. Il épelle mon" nom trois fois (Hauter, ce n'est pas un nom corse). Il raccroche. «Bon, petit, c'est réglé », dit-il. Je ressors du bureau de Marchetti assez perplexe, pas rassuré. Deux semaines plus tard, je suis convoqué pour la première fois dans le bureau du patron de la > rédaction, Max Clos. Il me dit: «Hauter, c'est un nom alsacien, ça, non? Bon, alors pouvez-vous m'expliquer pourquoi j'ai là, sur mon bureau, deux centslettres provenant de deux villages corses, expliquant que vous êtes un type formidable ? » Je ne sais plus comment je m'en suis sorti devant Max. Mais dans l'avion qui m'emmène aujourd'hui de Marseille à Ajaccio - la compagnie de transport maritime est en grève -, je suis déjà sur l'île de l'ami Marchetti. Ungars hurle dans son téléphone, il est colère contre sa femme: « C'est lanniversaire du petit? Tu n'aurais pas pu me le rappeler? » Les hommes se connaissent tous, ils s'embrassent avec des airs graves. Ils portent des jeans, des vestes sombres, ils s'avancent avec une démarche modeste, un peu fuyante.Leur regard est bas. Des taiseux : - «Ca va?» - « Et toi? » Les femmes restent assises, elles font un petit signe de tête de-ci de-là. Elles sont maigres et brunes, souvent très belles. Elles ont l'air maussade, renfrognées. On ne leur donne pas d'âge. Des ombres, dans leurs robes noires. Si vous en regardez une, elle vous fixe. Un regard sombre, chargé de défiance. Les yeux corses sont ténébreux et provocants. Des lueurs revêches, de l'obsession confinant à l'entêtement. Un orgueil inébranlable. On le comprend aussitôt: les femmes sur cette île commandent, les hommes paradent. Ils ne lisent qu'un seul journal, Corse-Matin. L'hôtesse dit «Attachez votre ceinture! » en langue corse. C'est rocailleux. Passé l'aéroport Napoléon-Bonaparte, dans les rues d'Ajaccio, les> enseignes donnent le ton: Da Corsica Produits Corses, Les Pierres de Corse > Villages Corses, Miel, Huile, Casa Napoléon Épicerie Fine, Corse Tour ... À côté du restaurant Da Mam­ma, un chinois baptisé Shangri La a fait faillite. À la devanture de la Maison de la Presse, j'ai le choix entre Napoléon. Sa vie, sesbatailles, son empire; Napoléon et les femmes; Napoléon mon aïeul, cet inconnu;et Napoléon et l'empire de la mode. Davantage encore que sur le continent, les cafés sont bondés à n'importe quelle heure du jour et de la soirée: Tous les> rendez-vous sont fixés en terrasse. Les gens vous épient, ils parlent bas, ils ont l'air sur la défensive. C'est vrai, ils ne sont que 300000 sur l'île. Et 55 000 dans cette plus grande ville du coin. Un nouveau, ça se remarque. Ils vous disent: «On est comme les autres, mais différemment. » Marion, une journaliste, pointe son doigt, sur mon carnet, elle me fait les yeux noirs: "Ecris! La Corse est une région attachante! On n'est pas des pestiférés!" Quelle paranoïa! Je change de terrasse de café. Le proche collaborateur du préfet, avec qui j'ai rendez-vous interrompt soudain notre conversation: «Excusez-moi, je dois voir cegendarme là-bas, il a des choses à dire, c'est secret, hein! Allez excusez-moi!Je me retiens pour ne pas éclater de rire. Tous sont contaminés par l'ambiance locale. Le pays de l'ours, rude et cruel La Corse me fait penser à la Mongolie. Des familles claniques qui, brutalement, voient leur univers traditionnel basculer dans la modernité. La glissade est vertigineuse. Alors, c'est humain:ils s'accrochent romantiquement à une tradition déjà morte. Une île, me dis-je, c'est renfermé, on peut nier la réalité du monde plus longtemps qu'ailleurs. À Ajaccio, la Corse est embourgeoisée. Elle vit paisiblement du tourisme moderne. Les villes des côtes sont confortables. À Bastia, le premier fast-food vient d'ouvrir. Les Corses ont fait la queue trois mois durant pour découvrir les hamburgers. Mais les gens se donnent un air grave, ils se prennent au sérieux. Cela pourtant ressemble à un conformisme. Ne font-ils pas semblant d'être rattachés à un monde rural qui ne rassemble plus que 2 % des habitants? Les villages de montagne à moitié en ruine représentent-ils encore leur monde réel? Le berger incarne- t - il toujours les valeurs corses et le bandit corse ? symbolise-t-il le défi à la à loi? Cela a l'air d'un film enfantin et touchant > Respectables, aussi. Les Corses n'acceptent pas l'inéluctable, la banalisation moderne. Voilà ce que je me dis avant d'aller en montagne, de monter vers Corte,« U paese di l'orsu», le pays de l'ours. On y arrive par une route tortueuse qui> vous envoie dans un autre univers. Pays cruel. Col hanté. Pays noir d'arbustes.Pays pauvre, pays rude, terres arides où alternent le givre et la sécheresse. C'est encaissé, raviné, sinistre. Pays impitoyable où le chat sauvagedéchiquette l'agnelle, où le rapace s'abat sur le lièvre, où le pied dérape sur les pierres, où le voisin tue le frère, où l'indulgence n'existe pas, où jamais la transgression n'est pardonnée, où la parole perpétue le mensonge. Il faut s'arrêter en route et, dans le crachin, marcher quelques heures sur cette terresi dure pour commencer à la comprendre. Pas d'étoiles dans le ciel. On en a le cœur retourné. Ce pays-là est torturé, sans pitié. J'y viens à la sortie de l'hiver, interminable. Les phares percent difficilement la brume. Voici le village minuscule, fiché sur la pente raide de la montagne. Voici la maison où l'on m'attend pour diner. J'apporte des fleurs. On ne sait qu'en faire. On les dépose sur une chaise. « Ici, le salon, c'était l'étable, avant.»,m'explique-t-on. Au mur, un râtelier chargé d'une demi-douzaine de fusils de chasse, et un arc pour tuer silencieusement le sanglier. La vieille dame qui me reçoit en compagnie de son fils, raconte la guerre, tous ces morts, la descenteau fond des ravins pour chercher les châtaignes, la remontée. «L'arbre à pain nous a sauvés », confie-t-elle. Des chants disent la tristesse et la nostalgie du temps passé. Le porcelet a cuit un jour. entier dans la cheminée. Du miel. Quand les Corses vous accueillent, leur générosité est sans limite .. Une violence d'un autre âge Bastia le lendemain. La ville se presse au tribunal. Pas pour l'un de ces assassinats à la chevrotine, sous les yeux de l'épouse ou à la terrasse d'un café, ces règlements de compte ordinaires qui font entre vingt et trente morts par an et agitent le landerneau corso-judiciaire (2). Non,aujourd'hui, c'est la sauvagerie de la société corse qui monte à la surface.Cinq accusés dans le box, en appel, pour les peines de dix à trente ans deprison qu'ils ont déjà commencé à purger. En janvier 2005, ils ont tué le patron du bar L'Oasis pour tenter de faire disparaitre une dette de jeu. La victime, Jojo, Joseph Vincensini, a été rouée de coups. Le corps a été abandonné aux cochons à Sainte- Lucie de Mercurio, un village proche. Comme chacun sait, les porcs ne mangent pas les cheveux et les dents des cadavres: Jojo a donc été> décapité avec une hache, et sa tête jetée dans un puits désaffecté. Finalement, les cochons n'avaient pas faim, le corps a été récupéré dans la porcherie par les assassins, puis abandonné dans le coffre d'une vieille Peugeot (3). Verdict de prison un peu moins lourd pour les cinq minables. Sur le cours Paoli, à deux pas du tribunal, les cafés se suivent et se ressemblent, on y commente le procès: chacun connaissait la victime et les assassins. Les «fratelli», les> nationalistes, paradent dans leurs battle-dress ridicules, au volant de leurs vieux 4 x 4. lis incarnent cette violence d'ml autre âge qui poisse la Corse et qui, parfois, comme à Corte, tourne à la sauvagerie. Leur tribu montagnarde s'est toujours battue contre les gens de l'extérieur. Les voilà désormais> encerclés par l'autre Corse, celle des plaines et des villes. Ce n'est pas un mal. « Les Corses ont une lourde responsabilité dans le destin médiocre qui est le leur », concède le Dr Edmond Simeoni, dont la famille a été la cible de soixante-quatre attentats. Le vieux nationaliste ajoute, à une terrasse de café de Bastia: « La Corse a changé, elle va basculer. Les Corses ne le savent pas. Paris le sait. » Oui, Corte, avec son université corse médiocre, est un réduit, la réserve naturelle d'une espèce française primitive, en voie d'extinction. Je m'envole pour Paris: cap sur une autre tribu, aux rites bien singuliers elle aussi. Celle que les Français monument « les élites ». (1) IL y a eu quinze mille attentats en Corse ces trente dernières années. (2) Magazine Corsica, mars 2011. (3) Cette sinistre histoire est racontée en détail dans le magazine XXI du dernier trimestre 2010, SOIIS le titre « Un poker cor
>
>voilà un article qui ne grandit ni son auteur ni le journal qui le publie .Comment ceux qui se prétendent les héritiers des Lumières ,défenseurs de l'Esprit français et chantre des des Droits de l homme ,peuvent-ils sans sourciller ,tolérer un tel tissu d'inepties et d'imbecilités xénophobes ,où la bétise rivalise avec la méchanceté . Faut-il que cet homme ,censé etre doué de culture,soit malheureux pour éructer ainsi !!!!
Ivana POLISINI MATTEI

[Marie-Hélène Ferrari]

[center] étonnant. Ramassis de sottises, de topi et de ce petit ton condescendant dont use le Grand envers le Petit. Volonté de raconter SA traversée de la Corse à la manière d'un Balzac qui la traverse en courant, afin de ne pas perdre sa mine d'argent Sarde (qu'il perdra quand même) et qui dîne de polenta rance avec des charbonniers, ou d'une Simone de Beauvoir qui prend les allures d'une exploratrice, quand elle va se baigner ou qu'elle prend le bus ! Pitoyable. J'adore le passage sur les amis hauts placés. Et d'où sort cette perle ?

[Marie-Hélène Ferrari]

Dommage de juger une oeuvre par un livre ; c'est sûr que ce n'est pas un bon exemple, j'ai eu aussi du mal à le lire ! Ses livres sont de qualité inégale mais celui que vous évoquez me semble être le pire...Essayez de recommencer, il y a de quoi se laisser emporter !

en parcourant les billets je reviens sur Vargas? Penserosu a raison, si le précédent était approximatif, et si j'ai hésité avant d'acheter le dernier, je ne l'ai pas regretté. À mon goût un peu de trop de ficelles, que l'on retrouve de l'un de ses ouvrages à l'autre, mais là encore, un univers, et une belle promenade immobile. mais force est de constater que nous avons des auteurs qui bénéficient d'une couverture médiatique bien moindre et qui donnent plus de plaisir, en toute discrétion.

[penserosu]

Bonsoir Marie-Hélène
l'article envoyé par Ivana est paru dans le Figaro il y a quelques temps , écrit par F Hauter . Elle apportera ces précisions .
Vargas,ça se lit facilement : j'aime bien le personnage d'Adamsberg ainsi que ceux de ses compagnons, surtout Danglard et La Boule, qui me réjouit . L'armée furieuse, son dernier je crois, est intéressant car son intrigue se fonde sur l'équivalent de notre "squadra d'arrozu", de nos "finzione" (des cortèges de morts sont vus et parmi eux, celui ou celle qui voit reconnait un vivant, un habitant qui mourra les jours suivants).

A propos d'Archange Morelli, on attend des billets sur certaines de ses oeuvres !

[penserosu]

vous êtes décidément nombreux à aimer un roman...il nous faut en parler !

[penserosu]

Le Roi Théodore à La Porta

Cette année encore, l' »Associu Baroccu » organise une évocation historique dans le village de La Porta.
L'an dernier, une mise en scène colorée avait fait revivre le destin de l'orgue historique du village.
Pour le 275ème anniversaire de son arrivée en Corse, la Porta se prépare à accueillir le Roi Théodore:
Le 14 Août, sur les places et dans les rues, les villageois vont se réunir pour suivre le cortège de Théodore de Neuhoff , et assister à son couronnement.
Cette évocation mimée, jouée et chantée par les gens de La Porta, (enfants , jeunes et adultes), commencera à 18h: l'entrée est libre.
Scénario et lectures: Anne His
Mise en scène et direction des ateliers : Francine Innocenzi
Organisation Associu Baroccu . LA PORTA 04 95 39 28 27[b]

[penserosu]

Le journal "L'informateur corse nouvelle", hebdomadaire bastiais, nous offre parfois ses pages pour que nous disions nos coups de coeur, que nous parlions livres...AL Bindi vient ainsi d'y faire paraitre un article consacré aux aphorismes de F Kafka, un autre concernant la vie de Rimbaud à son départ d'Europe. Cette semaine, samedi, devrait paraitre un article consacré à Pauline Sallembien et dans deux semaines un autre billet d'un membre de a musa nostra qui, nous l'espérons, donnera envie de se replonger dans l'oeuvre du grand Montaigne.

Une fois publiés et le journal n'étant plus en vente, les auteurs et lecteurs de musanostra les retrouvent sur le site en page d'accueil (www.musanostra.fr ) ; leurs articles ont déjà deux vies...Si l'expérience vous tente, contactez nous (0610931511 ou amusanostra@gmail.com)

[penserosu]

Et ça marche, car, du coup, en 10/18, on a envie de lire

-De john Krakauer "into the wild"
-de Haruki Murakami "la ballade de l'impossible"
-de Nick Hornby (mh Ferrari nous l'avait conseillé lors du café littéraire au parc de Saleccia, en mai 2010) : Juliet, naked

Si vous en avez lu un et avez un petit avis à nous donner, n'hésitez pas, ici (mais bon nombre trouve ça trop difficile de poster sur ce forum) ou en privé à amusanostra@gmail.fr
Nous posterons pour vous si vous le souhaitez ; sinon ce sera juste pour édification personnelle

[jeanne-marcelle]

J'ai acheté par hasard, ppour son petit prix de même pas 10 euro un livre de recette de jean pierre Baretti d'albiana et j'ai essayer d'en faire.je voulais dire qu'il est très bien, facile dans son explication et qu'on peut l'acheter sans se poser de question si on cherche à faire des paellas,des dorades dèlicieuses et la cuisin du soleil en gènèrale
titre: au soleil de Méiterrnée
auteur jean pierre Baretti
edition Albiana
Prix 9.90 euro

[penserosu]

ouf! nous sommes débordés entre sollicitations diverses, messages publics et surtout privés...Votre avis sur ce livre illustré que nous avions déjà repéré en librairie nous intéresse, Jeanne-Marcelle ; si en plus vous avez essayé les recettes, encore mieux ! On va mettre un billet sur le site : on rêve de salade de calmars, d'aubergines à la sicilienne...

[penserosu]

lundi 15 août à 00h25 sur France 3 , une émission interessante nous est signalée (un volet corse)

"Nous découvrons l’utilisation première et ancestrale des plantes sauvages du bassin méditerranéen, mais aussi leur usage contemporain...
Un documentaire réalisé par Anne de Giafferri et Gilles BlanchardUne production Agat Films, avec la participation de France 3 Corse
Les plantes ont toujours été dotées de pouvoirs et de propriétés guérisseuses. Les pharmacies ne sont-elles pas envahies aujourd’hui de produits essentiellement constitués de plantes naturelles ?

On a retrouvé chez les guérisseurs et botanistes d’autrefois, les connaissances de la phytopharmacie d’aujourd’hui. De la Corse à l’Italie, en passant par la Grèce et le Maroc, nous découvrons l’utilisation première et ancestrale des plantes sauvages du bassin méditerranéen mais aussi leur usage contemporain.
Une connaissance empirique pour un usage domestique, une recherche scientifique pour un usage industriel ou commercial, quelle est la place de ces savoirs botaniques dans notre société ?"

[penserosu]

Cette émission était très intéressante mais trop tardive ; elle devrait être rediffusée car elle souligne de nombreuses facettes des végétaux : ils servent à guérir, ils peuvent (et c'est fréquent, en poison ou même si on l'oublie, sous forme notamment d'huile essentielle mal utilisée) nuire, ils sont utilisés pour cuisiner...D'ailleurs à la fin on voit un groupe de personnes devant une soupe de rêve !

[penserosu]

le livre ( de Corse) qui plait toujours autant à des lecteurs connus ou inconnus de musanostra (on reçoit de petits messages), c'est :

l... o... d... l...

et si on jouait au pendu ? (précision : le nombre de points ne correspond pas au nombre de lettres !)

[muvrinu]

je propose un a

[Renucci François-Xavier]

Personnellement, je donne ma langue au chat. Mais j'apprendrai avec plaisir la solution ainsi que le titre de neuf autres livres de ce top ten des lecteurs de Musanostra.

[penserosu]

La première lettre, heu... bè... elle n'y est pas ! Pas de "a" !

[Renucci François-Xavier]

Une proposition (au fond, j'aime bien ce jeu moi aussi) : la lettre "e"...
(Et les 9 autres de la liste, pourrons-nous connaître les titres ?)

[penserosu]

le "e" ?
.e. .....e. .e ..e....e

il y en a quelques uns !

[jeanne-marcelle]

oui moi!

[penserosu]

merci j-m, je parlais des "e"

proposez une lettre

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