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Re: MUSANOSTRA.FR
richman a écrit:donc sandamianu aussi attend la parution de la traduction de "Murtoriu"comme evenement remarquable de la rentrée littéraire corse! Même si il faut encore quelques mois! c'est bien ! pourquoi pas?
Evénement remarquable, ça se discute. La prose de M. Biancarelli est souvent vulgaire, parfois ordurière et il me semble qu'on pourrait privilégier une littérature plus recherchée. Même ses poèmes en dialecte grouillent d'allusions sexuelles franchement répugnantes ! Il est vrai que nous admirons la décadence…
Re: MUSANOSTRA.FR
Dialecte...Petite provocation en passant...Tout son commentaire d'ailleurs n'est que provocation...
sandamianu- Messages : 85
Date d'inscription : 11/09/2011
Re: MUSANOSTRA.FR
Dite moi,ils sont passé où nos poètes Paganelli et celui de voxpoesi,Henri ?On les entend plus!!!
rony- Messages : 122
Date d'inscription : 03/07/2008
Re: MUSANOSTRA.FR
Ils doivent créer... Norbert Paganelli semble moins présent sur la toile.
sandamianu- Messages : 85
Date d'inscription : 11/09/2011
Re: MUSANOSTRA.FR
Provocation ? Je vous laisse juge :
"Anghjula Dea era da veru ciò chì si pò chjamà una lofia. In paesu, tutti i ghjovani è ancu l’omini maturi è maritati, tuttu u mondu s’era o menu fattu suchjà da issa troia. "
Est-ce moi qui ai écrit cette phrase particulièrement grossière et choquante ? Non, c'est ce M. Biancarelli dont la réputation est telle qu'il semble impossible de faire montre de la moindre réserve à son égard ! Glorifier la pornographie est devenu un devoir, semble-t-il. Je vous invite à lire soigneusement cette phrase par laquelle s'ouvre une des nouvelles de son recueil Prighjuneri. Je la livre en corse afin de préserver, au moins, les francophones. On est loin des frères Vincenti et de tout ce qui faisait jadis notre fierté. Mais je renonce à être compris et, après tout, chacun ses goûts. Je préfère quant à moi François Coppée ou Antoine Ciosi.
"Anghjula Dea era da veru ciò chì si pò chjamà una lofia. In paesu, tutti i ghjovani è ancu l’omini maturi è maritati, tuttu u mondu s’era o menu fattu suchjà da issa troia. "
Est-ce moi qui ai écrit cette phrase particulièrement grossière et choquante ? Non, c'est ce M. Biancarelli dont la réputation est telle qu'il semble impossible de faire montre de la moindre réserve à son égard ! Glorifier la pornographie est devenu un devoir, semble-t-il. Je vous invite à lire soigneusement cette phrase par laquelle s'ouvre une des nouvelles de son recueil Prighjuneri. Je la livre en corse afin de préserver, au moins, les francophones. On est loin des frères Vincenti et de tout ce qui faisait jadis notre fierté. Mais je renonce à être compris et, après tout, chacun ses goûts. Je préfère quant à moi François Coppée ou Antoine Ciosi.
Re: MUSANOSTRA.FR
o san damianu, ne vous énervez pas: Tancrède, c'est qui ? Quelqu'un qui a un peu envie de s"amuser et qui a du talent parce que franchement on se fait de ces rise! Penserosu l'a compris et bien d'autres aussi (sauf Jeanne marcelle) !
patrimoniu100- Messages : 101
Date d'inscription : 03/05/2010
Re: MUSANOSTRA.FR
o Tancrède vous aurie pu appeller votre site"la lyre de cyrnos" mais enfin,ça va, le nom est bien trouvé!
patrimoniu100- Messages : 101
Date d'inscription : 03/05/2010
Re: MUSANOSTRA.FR
Oui oui...j'en ris aussi...je le sais bien. Mais il sait parfaitement me "titiller" ( sans jeu de mot) pour me faire sortir de mes gonds. Certes ceux ci sont peu solides, il faut l'avouer....
sandamianu- Messages : 85
Date d'inscription : 11/09/2011
Re: MUSANOSTRA.FR
ce qui est sûr c'est que c'est bien un forum où il y a un peu de passage
si on arrive à 100 on pourra bien s'amuser
si on arrive à 100 on pourra bien s'amuser
richman- Messages : 125
Date d'inscription : 24/09/2009
PJ BLUES de André Gabella ; éditions Michel de Maule (billet reçu le 18-09 de P.Fiori)
"j'ai fini de lire le livre d'A Gabella : au début je l'ai pris par curiosité , pour voir comment il écrit et il m'a scotché ! Les histoires se succèdent , toutes brèves, et certaines s'étalent à tout casser sur 2 pages. il y a dans toutes José Torre, un type avec beaucoup de couleur et de force alors qu'il ne parle pas beaucoup . On ne sait presque rien de lui, il se défend contre les intrusions, il se détache du groupe quand il en a marre, seul dans sa tête, dans ses divagations cogitatives! Son rôle à lui est d'amener les autres à dire ce que lui a déjà deviné, pourquoi ils ont tué ! Et il y arrive!
PJ Blues montre ce qu'est la vie, la sale vie qu'on ne voit pas vraiment mais que les flics gèrent : jamais je ne m'étais rendu compte qu'il y a tant de bassesse, d'intérêt...Quelle leçon !
Vraiment une bonne lecture : Torre pourrait faire un super héros de série télévisée !"
PJ Blues montre ce qu'est la vie, la sale vie qu'on ne voit pas vraiment mais que les flics gèrent : jamais je ne m'étais rendu compte qu'il y a tant de bassesse, d'intérêt...Quelle leçon !
Vraiment une bonne lecture : Torre pourrait faire un super héros de série télévisée !"
Re: MUSANOSTRA.FR
Merci Penserosu...Merci de nous lancer quelques pistes de lectures..à lire donc.
sandamianu- Messages : 85
Date d'inscription : 11/09/2011
P.J. Blues d'andré Gabella
Ces nouvelles de André Gabella, j'en ai dit quelques mots lors du dernier café littéraire ! C'est un auteur bastiais que nous avions connu à Musanostra parce qu'il nous avait fait parvenir l'une de ses nouvelles, amicalement, que nous l'avions appréciée et que nous l'avions encouragé à publier...Il a un style : au départ son écriture dépouillée déconcerte , puis on apprécie et sa façon lapidaire d'en venir au fait et son personnage, comme le dit très bien Philippe Fiori ;il a vraiment un univers ! un soir nous l'inviterons à l'un de nos cafés littéraires (une soirée polar est à envisager tant le genre est apprécié par bon nombre de nos lecteurs)
Moi aussi je dirais "à découvrir" !
Moi aussi je dirais "à découvrir" !
Dernière édition par penserosu le Dim 25 Sep - 20:08, édité 1 fois
de qui est ce poème ? Pour le savoir, rendez vous sur le blog "passions cyrnéennes"
Pour le savoir, rendez vous sur le blog "passions cyrnéennes"
Sonnet à l'inconnue de la toile - à MP
Je ne connais ni ton visage ni tes formes
Mais tu as ranimé ma sensualité
Je nous rêve souvent tous les deux alités
Bouillonnants de désir quand tous les autres dorment
Déesse de la toile, O divine inconnue,
Sauras-tu succomber au charme du vieillard
Que plaça sur ta voie le démon du hasard ?
Quand lui ouvriras-tu l'écrin de ton corps nu ?
Je revis grâce à toi, je tremble, j'ai trop chaud,
La muse et ses plaisirs me paraissent ingrats,
Et pour toi je suis prêt à manger du Broccio.
Je referai du sport, je prendrai du viagra
Je serai ton Samson, ton homme, ton macho
Je t'honorerai comme un guerrier bambara
Nouvel article de H Cheuzeville
Une « Nelson Mandela » française : Marie Durand
Combien de rues, en France, portent-elles le nom de Marie Durand ? Le lycée agricole de Nîmes-Rodilhan est, à ma connaissance, le seul établissement scolaire français portant son nom[1]. Combien de Français, en dehors de la communauté protestante, ont-ils entendu parler de cette femme du XVIIIe siècle ? Marie Durand est donc une grande oubliée de l’Histoire de France. Pourtant, quelle vie héroïque que celle de cette femme courageuse, née en 1711 au Bouchet-de-Pranles et décédée dans cette même localité du Vivarais en 1776 ! Quel exemple que cette dame qui sut rester fidèle à ses convictions et à sa foi, tout en opposant une résistance passive mais inflexible à l’oppression et à l’arbitraire !
C’est en 1685 que Louis XIV prit la funeste décision de révoquer l’Edit de Nantes et d’interdire le culte protestant dans son royaume. Cette décision eut des conséquences dramatiques pour nombre de ses sujets et pour le pays tout entier. Elle ralluma les guerres de religion avec leur cortège d’horreurs sans nom. Les Protestants n’eurent d’autres choix que d’abjurer, de fuir ou de mourir. Beaucoup prirent des risques insensés en choisissant de rester fidèles à leur foi dans la clandestinité. Ce fut la décision prise par la famille Durand. Etienne Durand, le père, était greffier-consulaire, l’équivalent de l’époque d’un secrétaire de mairie. Malgré le danger, il organisait de temps à autre des assemblées secrètes dans la maison familiale, où il fit graver « Loué soy Dieu E.D. 1696 » sur le fronton de la cheminée, et où il avait aménagé une cache pour la Bible familiale. C’est à la suite d’une de ces assemblées illicites que Claudine, la mère, dénoncée par un voisin, fut arrêtée en 1715. Marie avait 4 ans. Elle ne devait plus jamais la revoir car elle mourut en prison quelques années plus tard. Pierre, le frère de Marie, partit pour la Suisse où il suivit une formation de pasteur du Désert (pasteur d’une Eglise clandestine). Rentré dans le Vivarais à l’âge de 20 ans, il y mena une vie errante, tentant secrètement de réorganiser l’Eglise réformée dans sa région. Il fut consacré pasteur en 1726 lors du synode national de Craux. Ne parvenant pas à arrêter ce pasteur rebelle, les autorités s’en prirent à sa famille. En 1728, Etienne, le père, fut arrêté et emprisonné au fort de Brescou, près d’Agde, après avoir confié Marie à Mathieu Serres, dont elle devint la fiancée.
En 1730, les deux fiancés furent arrêtés par les Dragons du roi. Mathieu fut envoyé au fort de Brescou, où il y retrouva Etienne Durand, tandis que Marie fut emprisonnée à la tour de Constance, à Aigues-Mortes. En entrant dans son lugubre cachot, cette jeune femme avait 19 ans. Elle en avait 57 lorsqu’elle en sortit, en 1768 ! 38 années de détention dans une pièce insalubre, qu’elle partageait avec une trentaine d’autres femmes, pour la plupart plus âgées qu’elle. 38 années de privations, de froid, de promiscuité, de souffrances. 38 années durant lesquelles Marie Durand sut faire face aux épreuves avec courage et détermination, devenant même une source d’inspiration pour ses compagnes d’infortune. Jamais elle ne renonça à sa foi, allant jusqu’à graver le mot « résister » sur la margelle du puits de la tour. Ce mot y est encore visible aujourd’hui.
Cependant, la tête du pasteur Durand avait été mise à prix pour 4000 livres. A la suite d’une dénonciation, alors qu’il cheminait pour aller célébrer un mariage, il fut arrêté au gué du château de Vaussèche, le 12 février 1732. Condamné à mort, il fut pendu sur l’Esplanade de Montpellier, le 22 avril suivant. Il avait 32 ans.
Le martyre de son frère renforça encore la foi de Marie. Elle refusa les promesses de libération qui lui furent faites en échange de son abjuration, et elle continua à exhorter ses compagnes à rester fermes, envers et contre tout.
En janvier 1767, le prince de Beauvau, gouverneur du Languedoc, visita la tour de Constance. Il fut ému par le sort de ces femmes et ordonna la libération de 14 d’entre elles, malgré l’opposition royale. L’une des femmes libérées, Marie Robert, avait été détenue durant 41 années. C’est le 14 avril 1768 que Marie Durand, percluse de rhumatismes, fut finalement libérée. Les deux dernières prisonnières sortirent de la tour Constance en décembre suivant.
Marie retourna vivre, dans le plus grand dénuement, dans la maison familiale de Bouchet-de-Pranles. Elle y survécut jusqu’en septembre 1776, grâce aux subsides de l’Eglise wallonne réformée d’Amsterdam.
L’année 2011 marque le tricentenaire de la naissance de cette héroïne oubliée. La France s’honorerait en rappelant le souvenir de cette pionnière de la lutte non violente et de la résistance passive à l’arbitraire. Un tel exemple est intemporel, et d’utiles leçons pourraient en être tirées, 300 ans après la naissance de Marie Durand !
Hervé Cheuzeville, 18 septembre 2011
(Auteur de trois livres: "Kadogo, Enfants des guerres d'Afrique centrale", l'Harmattan, 2003; "Chroniques africaines de guerres et d'espérance", Editions Persée, 2006; "Chroniques d'un ailleurs pas si lointain - Réflexions d'un humanitaire engagé", Editions Persée, 2010)
Hervé Cheuzeville
tel : +33(0)6 25 07 41 33
e-mail: achecer@yahoo.fr
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Combien de rues, en France, portent-elles le nom de Marie Durand ? Le lycée agricole de Nîmes-Rodilhan est, à ma connaissance, le seul établissement scolaire français portant son nom[1]. Combien de Français, en dehors de la communauté protestante, ont-ils entendu parler de cette femme du XVIIIe siècle ? Marie Durand est donc une grande oubliée de l’Histoire de France. Pourtant, quelle vie héroïque que celle de cette femme courageuse, née en 1711 au Bouchet-de-Pranles et décédée dans cette même localité du Vivarais en 1776 ! Quel exemple que cette dame qui sut rester fidèle à ses convictions et à sa foi, tout en opposant une résistance passive mais inflexible à l’oppression et à l’arbitraire !
C’est en 1685 que Louis XIV prit la funeste décision de révoquer l’Edit de Nantes et d’interdire le culte protestant dans son royaume. Cette décision eut des conséquences dramatiques pour nombre de ses sujets et pour le pays tout entier. Elle ralluma les guerres de religion avec leur cortège d’horreurs sans nom. Les Protestants n’eurent d’autres choix que d’abjurer, de fuir ou de mourir. Beaucoup prirent des risques insensés en choisissant de rester fidèles à leur foi dans la clandestinité. Ce fut la décision prise par la famille Durand. Etienne Durand, le père, était greffier-consulaire, l’équivalent de l’époque d’un secrétaire de mairie. Malgré le danger, il organisait de temps à autre des assemblées secrètes dans la maison familiale, où il fit graver « Loué soy Dieu E.D. 1696 » sur le fronton de la cheminée, et où il avait aménagé une cache pour la Bible familiale. C’est à la suite d’une de ces assemblées illicites que Claudine, la mère, dénoncée par un voisin, fut arrêtée en 1715. Marie avait 4 ans. Elle ne devait plus jamais la revoir car elle mourut en prison quelques années plus tard. Pierre, le frère de Marie, partit pour la Suisse où il suivit une formation de pasteur du Désert (pasteur d’une Eglise clandestine). Rentré dans le Vivarais à l’âge de 20 ans, il y mena une vie errante, tentant secrètement de réorganiser l’Eglise réformée dans sa région. Il fut consacré pasteur en 1726 lors du synode national de Craux. Ne parvenant pas à arrêter ce pasteur rebelle, les autorités s’en prirent à sa famille. En 1728, Etienne, le père, fut arrêté et emprisonné au fort de Brescou, près d’Agde, après avoir confié Marie à Mathieu Serres, dont elle devint la fiancée.
En 1730, les deux fiancés furent arrêtés par les Dragons du roi. Mathieu fut envoyé au fort de Brescou, où il y retrouva Etienne Durand, tandis que Marie fut emprisonnée à la tour de Constance, à Aigues-Mortes. En entrant dans son lugubre cachot, cette jeune femme avait 19 ans. Elle en avait 57 lorsqu’elle en sortit, en 1768 ! 38 années de détention dans une pièce insalubre, qu’elle partageait avec une trentaine d’autres femmes, pour la plupart plus âgées qu’elle. 38 années de privations, de froid, de promiscuité, de souffrances. 38 années durant lesquelles Marie Durand sut faire face aux épreuves avec courage et détermination, devenant même une source d’inspiration pour ses compagnes d’infortune. Jamais elle ne renonça à sa foi, allant jusqu’à graver le mot « résister » sur la margelle du puits de la tour. Ce mot y est encore visible aujourd’hui.
Cependant, la tête du pasteur Durand avait été mise à prix pour 4000 livres. A la suite d’une dénonciation, alors qu’il cheminait pour aller célébrer un mariage, il fut arrêté au gué du château de Vaussèche, le 12 février 1732. Condamné à mort, il fut pendu sur l’Esplanade de Montpellier, le 22 avril suivant. Il avait 32 ans.
Le martyre de son frère renforça encore la foi de Marie. Elle refusa les promesses de libération qui lui furent faites en échange de son abjuration, et elle continua à exhorter ses compagnes à rester fermes, envers et contre tout.
En janvier 1767, le prince de Beauvau, gouverneur du Languedoc, visita la tour de Constance. Il fut ému par le sort de ces femmes et ordonna la libération de 14 d’entre elles, malgré l’opposition royale. L’une des femmes libérées, Marie Robert, avait été détenue durant 41 années. C’est le 14 avril 1768 que Marie Durand, percluse de rhumatismes, fut finalement libérée. Les deux dernières prisonnières sortirent de la tour Constance en décembre suivant.
Marie retourna vivre, dans le plus grand dénuement, dans la maison familiale de Bouchet-de-Pranles. Elle y survécut jusqu’en septembre 1776, grâce aux subsides de l’Eglise wallonne réformée d’Amsterdam.
L’année 2011 marque le tricentenaire de la naissance de cette héroïne oubliée. La France s’honorerait en rappelant le souvenir de cette pionnière de la lutte non violente et de la résistance passive à l’arbitraire. Un tel exemple est intemporel, et d’utiles leçons pourraient en être tirées, 300 ans après la naissance de Marie Durand !
Hervé Cheuzeville, 18 septembre 2011
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Re: MUSANOSTRA.FR
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