fiera di l'Isula

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Musanostra est invitée à organiser et animer un café littéraire vendredi 3 septembre de 17 à 19 heures à Ile Rousse (l'Isula, fiera di i cinqui sensi ) ; les participants (vous , pourquoi pas ? )pourront y dire leurs expériences de lecteurs , en toute simplicité et convivialité. La rencontre sera suivie d'une séance de dédicaces des auteurs présents
pour plus de renseignements, écrivez nous amusanostra@gmail.com ou appelez le 0617917854

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Les personnes désirant s'associer à la manifestation littéraire (lecteurs, auteurs, éditeurs..) sont invitées à nous contacter au 06 17 91 78 54
ou à
amusanostra@gmail.com

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Présentation prévue également de "Là où j'ai laissé mon âme" de J Ferrari (actes sud), de romans policiers chinois et japonais, de "Rise e tambate" de J. Turchini (albiana)et bien d'autres surprises !

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beaucoup de visiteurs sur www.musanostra.fr depuis quelques jours ; signe de l'approche de la rentrée ?

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le dernier Fora : de très intéressants articles sur les liens Corse/Italie aujourd'hui
avec la participation d'auteurs que nous apprécions énormément et dont certains sont des amis de l'association Musanostra, stefanu Cesari, Jean-Marie Arrighi, Philippe Pesteil, Marie Ferranti, Marie-Hélène Ferrari, G Thiers...
Personnellement j'ai lu avec grand plaisir les articles de F. Albertini (page 70), de Vannina Lari (à chacun ses dadas et nous en partageons un !) ainsi que le texte de G M Tristani sur Colucci dont j'ai la chance d'admirer fréquemment certaines oeuvres !

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Elena Piacentini a présenté "La vendetta de Sherlock Holmes" de Ugo Pandolfi ; pour voir sa présentation, aller sur www.musanostra.fr

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Jack Kerouac « Sur la route »

La rencontre Musanostra du mois de mai 2010 au Majestic à Bastia, avec pour invité d'honneur Marcu Biancarelli, nous avait amenés à évoquer les grandes figures d'une errance mythique, celle des auteurs que sont par exemple, pour en nommer deux très célèbres, Jack London ou encore Jack Kerouac. On peut tenter de déterminer ce qu'ils cherchaient ou plutôt ce qu'ils fuyaient : mais il est bien plus intéressant de les lire et de profiter de ce qu'ils nous en ont laissé, de leurs parcours sur les routes de la marginalité.

Jack London a ouvert la voie avec "La route" selon M. Biancarelli (cf la lecture faite -sur le site www.musanostra.fr ) qui remarque : "« La Route » de London, écrit en 1907, puise ses sources, de manière incontestable, chez un Mark Twain, celui de Huckleberry Finn, et sème l’œuvre d’un Kerouac ou d’un McCarthy. Le premier écrivit « Sur la Route » en 1957, et le second « La Route » en 2006. L’hommage au grand Jack n’est pas caché, et cela nous prouve que les livres sont aussi écrits pour inspirer et générer sans fins d’autres livres, et que les grands écrivains, ceux de l’aventure, ceux de la condition humaine, parlent aux grands écrivains à travers les siècles".

Ceux qui aiment lire ces voyageurs ressentent le plaisir de leur seule évocation, ainsi que leur fraternité ....

Or en ce moment parmi eux Jack Kerouac connaît un nouveau moment de gloire puisqu'on vient de rééditer son roman dans sa version initiale, c'est à dire que les éditions Gallimard ont choisi d'offrir aux lecteurs tout le texte de "Sur la route" qui avait été écrit sur un rouleau de papier blanc de 40 mètres ; Jack y travailla 21 jours d'affilée, ne s'arrêtant que pour dïner ou se doper tant cette vie libre, en bonne compagnie, dans une Amérique aux grands espaces coupés par d'innombrables routes , lui semble une révélation ! Il a moins de 30 ans et son livre va faire rêver des millions de jeunes pour qui la Beat generation semble la seule solution...
Et on accède enfin à l'oeuvre telle que son auteur a voulu nous la proposer, pas tronquée ; on a en main la copie du « rouleau original » et on se dit qu’il est très moderne ! Qui parmi vous l'a lue, cette version presque'originale, car il faut compter avec la traduction, of course ! ? C'est déjà un succès de librairie !
Voici ce qu'en dit Fabienne, une des fidèles lectrices de a musa nostra:

« Cet été j’étais sur la route toute la sainte journée. Sur les routes corses à tout berzingue à la rencontre de mes amis (es) et avec KEROUAC, Le rouleau original, s’il vous plaît.
JACK KEROUAC a écrit « Sur la route » en 1952 sous l’effet de la benzédrine (ancêtre de l’amphétamine),sans ponctuation, sur papier télétype. Il avait craché son texte , plein d’anecdotes prises sur le vif . Sur la route relate sa rencontre avec NEAL CASSADY , le jazz ,l’alcool, les filles, la drogue, la liberté, c’est une ode aux grands espaces, à l’épopée vers l’ouest et la découverte des mondes nouveaux .

C’est aussi l’histoire vraie d’une bande de déjantés qui sillonnent l’Amérique en tout sens sans un rond, à la recherche de quelque chose qu’ils ne trouvent pas vraiment, qui se perdent et reviennent au point de départ avec au cœur l’espoir de quelque chose d’autre.
Ce livre avant-gardiste marque le début de la « BEAT GENERATION » qui a ébranlé la société américaine dans ses certitudes ; la formule est de j. Kerouac qui l’a employée pour la 1ère fois en1948 et l’a tirée d’une expression populaire des noirs américains faisant référence à la pauvreté et à l’écrasement »
Fabienne Francesconi, août 2010

[penserosu]

LE JOUR J
Le jour J approche à grands pas. Les discussions à son sujet durent depuis belle lurette. On se complait à longueur de journée à en faire notre plat de résistance quotidien. On a l'impression que le débat a commencé l'année dernière et qu'il n'en finit plus. On ne parle que de ça et on ne sait plus parler d'autre chose.
A côté, le problème du financement des retraites, les Roms, les tensions de Johnny avec son producteur Camus, les effets de la crise, les futures élections présidentielles, les assassinats, les touristes...paraissent des préoccupations secondaires, d'une futilité à faire pâlir les plus avertis.
Donc, notre sujet de conversation nous tient en haleine heure après heure, mois après mois. Son évocation permanente suscite à la fois promesse et tourment. D'aucuns en auraient fait une overdose depuis longtemps.
Pas nous. Il polarise toute notre attention. On en rêve même la nuit. On échange sans arrêt nos sentiments sur ce futur moment privilégié. On le dissèque, lamine. On le triture bien plus qu'une prune de supermarché en fin de journée.
- Aura-t-il les mêmes qualités que le précédent ? - Sera-t-il à la hauteur de nos espérances ?
Quelles que soient les réponses, tous les paris sont ouverts !
Aujourd'hui, c'est la dernière ligne droite. Il était temps. On arrivait à saturation. Demain on va enfin savoir. Le doute ne sera plus permis. Il n'y a plus très loin de la coupe aux lèvres. Je devrais dire de l'assiette à la bouche. Juste une fourchette les sépare. Le millésime 2010 sera-t-il de meilleure qualité que celui de 2009 ?
Oui, vous avez tous compris. Je veux parler de notre très attendu repas aux tripettes à Lavasina qui nous fait tous tant saliver. Une véritable recette dubarienne de chef, un des plats les plus traditionnels et emblématiques de la cuisine Corse à la saveur incomparable. L'eau à la bouche, j'hume par avance l'odeur de l'ail, oignon, laurier, romarin, noix muscade, clous de girofle, petit salé, tomate, persil, menthe...Nul doute que notre compère et connaisseur en vin habituel saura trouver le cru qu'il conviendra pour accompagner ce mets délicieux !
Faisons une prière collégiale pour que Notre Dame des Grâces locale, dont le sanctuaire, haut-lieu spirituel, devenu un lieu de pèlerinage des corses, toute proche de nos orgies culinaires, exauce nos vœux.
Ajoutons-en une deuxième pour que le maître queue de céans soit à la hauteur du service.
" E ora di manghà !
Bona manghjata di trippètte a tutti ! "

[penserosu]

C'est encore un livre culte et il y a beaucoup de réactions au papier sur la réédition de "sur la route"
retour aux idéaux de jeunesse, découverte à l'occasion de cette réédition ? Sans doute ce succès est-il le signe que J Kerouac est un grand auteur.

[penserosu]

Mardi, dernier de septembre, à 20h30 de livres en titres et en prix , ce sera la rentrée littéraire de musanostra !
Et vous nous parlerez des livres récemment parus que vous avez aimés, des auteurs dont les prestations (télé, web...) vous ont donné envie de les lire...et de ceux que vous n'avez pas l'intention de lire...

En attendant, petit défi, fastoche : lisez le dernier
Houellebecq ou le dernier Nothomb , qu'on en discute !

[rony]

Claude Chabrol est mort, 80 ans ; respect, chapeau bas !

[penserosu]

oui, départ d'un grand !

[penserosu]

Rendez-vous au Majestic le 28 septembre à 20H30 ; on y débattra des charmes et déplaisirs de la "rentrée littéraire"...
Toujours le même esprit, d'ouverture, de partage, de tolérance...Vous pourriez déjà vous interroger sur les titres qui vous attirent actuellement et préparer une intervention...

[Raymond Mei]

Pour ce nouveau RDV de Café Littéraire au Majestic sur le thème " Rentrée littéraire", j'ai voulu faire une synthèse des principales parutions récentes ou à paraître, qui me semblent dignes d'intérêt.
A vous de faire votre choix :
-Cent seize chinois et quelques (Thomas Heams-Ogus) : histoire des chinois internés dans un camp des Abruzzes par les fascistes mussoliniens. Le climat rappelle "La Peste" de Camus.
- Les hommes qui n'aimaient pas les femmes ( Stieg Larsson).
- Apocalypse bébé ( Virgine Despentes) : un roman volcanique qui secoue le lecteur. Sensations garanties.
- Nous étions des êtres vivants (Nathalie Kuperman).
- Point Omega (Don Delillo).
- Transport en commun (Jean Grégor).
- Les quatre morts de Jean de Dieu ( Andrée Chedid).
- L'homme mouillé ( Antoine Sénanque).
- Un bûcher sous la neige ( Suson Fletcher).
- Histoire de cheveux ( Alan Pauls).
- Le confident ( Hélène Gremillon) : émotion et histoire dans ce premier roman de l'auteur.
- L'entrevue de Saint-Cloud ( Harold Cobert).
- La vie est brève, et le désir sans fin ( Patrick Lapeyre).
- La carte et le territoire ( Michel Houellebecq): radiographie acérée de la société.
- C'est une chose étrange à la fin que le monde ( Jean d'Ormesson) : interrogation, au nom de l'humour et du sain ésprit, sur Dieu, l'univers, la vie et ses origines.
- Le déclin d'Ajaccio ( Arnaud Carrolaggi) : un citoyen prend la parole pour donner son sentiment sur la gestion des affaires publiques.
- Accusé Napoléon III, levez-vous ! ( Gaël Nofri) : vie et oeuvre d'un chef d'Etat de grande qualité.
- Une forme de vie ( Amélie Nothomb) : une correspondance loufoque avec un soldat obèse.
- Le coeur régulier ( Olivier Adam) : roman coup de poing qui évoque les impossibles quêtes de soi.
- Ouragan ( Laurent Gaudé) : destin de personnages après le passage de Katrina à la Nouvelle-Orléans.
- La ballade de Lila K ( Blandine Le Callet) : délires d'avenir. A quoi ressemblera le monde de demain ?
- L'amour est une île ( Claudie Gallay) : âpreté des thèmes abordés.
...

La révolution numérique et le soi-disant essouflement du livre, n'ont pas empêché, cette année encore, des centaines de livres de faire leur rentrée. Jetés sur le marché par des centaines d'éditeurs, l'objectif est de distinguer leurs auteurs dans cette masse littéraire qui contient de nombreuses perles.

[penserosu]

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[penserosu]

" A propos de La Caverne des idées de J.-C. Somoza, un auteur espagnol ; éditions Babel Actes Sud


Un polar antique ? c'est qu'au début et sur la quatrième de couverture, il est question d'un éphèbe retrouvé mort et qu'assez vite apparaît l'Hercule Poirot de l'époque, Heracles Pontor, déchiffreur d'énigmes, traduisons "détective". Mais c'est plus que cela :
d'abord la construction : l'auteur imagine que les notes du traducteur (parfois des pages entières) fassent elles-mêmes partie de l'oeuvre puisque parallèlement à l'intrigue, nous suivons le travail du traducteur, réfléchissons avec lui au sens caché qui mène une histoire à sa fin, aux images et à leur valeur...Le traducteur se lasse parfois et d'autres fois, enthousiaste, souligne des mots, des idées pour étayer sa thèse d'une démarche éidétique.
Ensuite le personnage d'Héracles qui ne croit rien a priori : moderne car plus libre que la plupart de ses concitoyens, il est cependant un peu trop méthodique et prude, ce que lui reprochent quelques personnages qui le voient trop penser ! Il est gros, obèse...Il avale tout au long du roman une grande quantité de figues et est capable de longuement disserter sur cette douceur. Veuf il vit seul avec une servante dont il a eu pitié...
De plus c'est la Grèce antique, l'époque de l'Académie et on a le plaisir de re-connnaitre les grandes lignes de cette philosophie, d'entrevoir le maître, Platon lui-même ; tout dans son établissement scolaire doit porter les jeunes gens à la vertu, aux Idées...D'ailleurs leur professeur (mentor) Diagoras les connait bien, ces élèves, et il sait que leurs âmes sont des moins corruptibles...
Pourtant il doit faire appel à Héracles Pontor pour comprendre pourquoi ceux dont il a la charge trouvent la mort de façon violente...

le petit reproche que je ferais : il faut pour apprécier pleinement cette oeuvre être déjà instruit sur maintes choses telles que la philosophie antique, le théâtre d'Euripide, connaître Héraclite, Platon bien sûr et sa célèbre allégorie de la caverne, la religion, le culte de Dionysos, bref la civilisation grecque avec son respect pour les éphèbes, savoir goûter le charme des mises en abyme, des récits enchassés, aimer relire, revenir sur ce qu'on a lu...
De plus la description des corps des jeunes gens m'a paru longue, trop élogieuse...Elle en touchera d'autres, elle m'a un peu ennuyé

La fin du livre qui oppose donc deux conceptions du monde et de la vie est un peu décevante ; mais je suis heureux d'avoir eu ce livre entre les mains car je l'ai trouvé original et il m'a fait revenir à des notions oubliées, étant aussi bien histoire à énigme que réflexion sur l'écriture et sur la relativité des systèmes philosophiques"


h. Peretti
Corte ; septembre 2010

[penserosu]

Stage Ghitare & Canzone
Ghisonaccia


La squadra vous rappelle que le premier stage Ghitare & Canzone se déroulera le samedi 23 octobre de 9h à 17h. Il sera encadré par Ange Torre et Fredi Olmeta (bassiste et guitariste de Canta u Populu Corsu)
ce stage est ouvert à tous les niveaux. Le tarif est de 50€ (repas compris ). Il aura lieu à Toutes les personnes intéressées doivent impérativement prendre contact avec Patricia Selvini au 06 28 29 04 22 car il ne reste que quelques places..
Ce stage est éventuellement ouvert aux amateurs de guitare électrique et de basse. Les DVD GHITARE & CANZONE serviront de base de travail.
On compte sur vous pour tenir informé votre entourage et on vous dit
A PREEEESSSSSSTUUUUUUUUU !!!!!!!!
A squadra in FO OORzzzaaaa !!!!!!!

Ange Torre

[penserosu]

" Ta route à toi, Michel Gomez, s'est arrêté au cimetière de SAN NICOLAO où nous t'avons accompagné ce matin du 11 août ,sous un orage dantesque et des pluies diluviennes.
Michel, mon frère de coeur, tes années étudiantes à l'école d'architecture de Strasbourg dans les années 70, ont été largement inspirées de la "BEAT GENERATION" ses excès et sa liberté de ton.Tu as vécu en faisant fi des convenances et des conventions, ado tu es resté et libre aussi.
Gomez tu t'es fait un nom là-bas mais ton coeur était ici , tu as souffert de l'exil , et un jour ce coeur tant malmené a laché.

Salut "LA GOM " au revoir "

[muvrinu]

pour dire l'injustice de la rentrée : déja aucune librairie ne peut caser 700 nouveaux livres !
il y aura forcément choix à cette rentrée et au moins 400 livres seront oubliés, inconnus, pas vendus

[penserosu]

oui difficile de se faire remarquer dans ce magma ! Entre les auteurs connus et ceux qui ont les faveurs de la presse, pour des raisons qui souvent nous échappent, dorment les oeuvres dont on ne nous parlera jamais, qui ne se trouvent pas dans nos librairies...

[penserosu]

CAUSERIE LITTERAIRE, LE JEUDI 14 OCTOBRE, 18h30.
La librairie recevra JERÔME FERRARI à l'occasion de son dernier roman, OU J'AI LAISSE MON ÂME.
Causerie, dédicace, apéritif.

[Raymond Mei]

Pourriez-vous préciser les coordonnées de la librairie où Jérôme Ferrari sera présent le 14 octobre prochain ?
Merci.

[penserosu]

Il s'agit de la librairie "Le point de rencontre", bd Giraud à Bastia

[richman]

J'ai lu un article sur l'association dans la presse
Si je peux me le permettre, il faudrait davantage communiquer, aller à la radio, sur les plateaux télé : le concept est novateur et fait mouche, tout un chacun s'en trouvera servi, spectateurs comme administrateurs de A Musa Nostra .
Ce matin quelques amis ne vous connaissaient pas alors que vous existez depuis pas mal d'années, c'est dire / A quand une émission télé ? sur via stella ? Fr3 ?

[penserosu]

C'est gentil de vous en inquiéter ; mais combien d'heures de plus faudrait-il trouver pour tout cela ? La radio, la télé ? Faire vivre une association, même de la petite taille que musanostra nous occupe déjà tous ! Nous sommes sollicités pour de nombreux rendez-vous et sommes désolés de souvent devoir refuser par manque de temps et de moyens.
Mais merci de votre attention...et pourquoi pas plus tard ; laissons faire...

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